Savez-vous pourquoi, lorsque vous regardez un film d’épouvante vous avez peur ? Ou peut-être riez-vous d’ailleurs ? Pourquoi pleurez-vous devant un film triste ou en lisant même ?
Vous savez que ce n’est pas réel et pourtant, vous ressentez quelque chose !
Voici une partie de la réponse : le cerveau ne fait pas la différence entre les ressentis issus de la réalité et ceux issus de l’imaginaire.
Il va traiter l’information comme une réalité et enclencher des mécanismes.
Pour des évènements réels, c’est donc le même fonctionnement : le cerveau traite l’information issues des ressentis.
S’ils sont positifs, il va enclencher les processus de bien-être, avec la sécrétion des hormones du plaisir, etc. S’ils sont négatifs, il va stimuler la production de cortisol et d’autres choses, pour nous préparer à réagir.
Ce que nous ressentons, les ressentis donc, peuvent être perceptibles physiquement (comme les frissons, les rires, par exemple), émotionnellement (joie, peur) ou mentalement (pensées positives ou négatives).
Ces ressentis (naturels), nous sont propres et nous réagissons tous d’une manière différente. Ils nous appartiennent, à nous seuls.
Vu sous cet angle, vous comprenez pourquoi il est absurde de porter un jugement de valeur sur un ressenti !
Parvenez-vous à percevoir ce pouvoir énorme ?
Si nous parvenons à faire émerger des ressentis positifs, alors le corps va libérer des hormones du bonheur et autres réjouissances. Et du même coup, favoriser un accès au bien-être.
Bon, je ne suis pas diplômée en neurosciences, je l’avoue, je vous donne la version ultra courte et simpliste. Mais l’essentiel est là : favoriser des ressentis positifs, c’est favoriser l’accès à son propre bien-être.
Et c’est aussi à cela que sert la sophrologie, le coaching et bien d’autres méthodes également. Le tout est de trouver celle qui vous convienne !
Nous avons tous en nous ce petit trésor qui ne demande qu’à être déniché !
Découvrons-le, ensemble !
Bien à vous,
Léa