Devoirs, obligations, contraintes...
Nous apprenons souvent que pour être heureux, il faut avoir des bonnes notes à l’école, pour avoir le travail que nous voulons et gagner de l’argent pour vivre sereinement.
A quel moment l’on nous demande : « qu’aimes tu faire, que veux tu faire vraiment ? »
Cette question, si toutefois elle est posée, c’est toujours après avoir fait ce qui devait être fait : nos devoirs à l’école, avant d’aller jouer ; le ménage, les courses, avant d’aller se promener. Et pour finir, le travail, avant de profiter de quoique ce soit.
Remarquez vous que loisir et travail, (aimer et devoir), sont souvent séparés ?
Si maintenant, nous décidions ceci : « je dois faire ce que j’aime. Comment faire ce que j’aime tout en travaillant ? ». Toute réponse est possible sauf : « j’aime ne rien faire » 😉 !
En général, nous ne savons même plus ce que nous aimons profondément, tout ce trésor est enfoui en nous, quelque part dans l’ombre. Mais c’est justement avec lui que nous réussissons : faire ce que l’on aime et aimer ce que l’on fait, c’est simple et cela fonctionne !
Remarquez vous que nous parlons très rapidement de nos réussites pour nous attarder allègrement sur « nos axes d’amélioration », (terme qui a remplacé « points faibles », mais qui veut toujours dire la même chose, en plus joli) ?
Mais est-il plus facile de surmonter une difficulté sans y être préparé, comme je dis souvent, « un peu tout nu », ou au contraire, en étant pleinement conscient de son potentiel, de ses capacités, de ses valeurs et talents ?
Nous pouvons parler en détail et pendant des heures de nos « axes d’amélioration ».
Prenons un exemple, je ne suis pas à l’aise en cuisine (traduction : « je suis nulle »), je pourrais dire avec précision, tout ce qu’il se passe quand je cuisine :
Etat des lieux : le chantier du sol au plafond, toute la vaisselle errante sur tout ce qui peut faire office de plan de travail, etc.
Là où je peine le plus : les recettes, ça me gonfle, je fais selon mon inspiration du jour.
Ce que je n’arrive pas à intégrer : les proportions : un repas pour 2 personnes peut en fait en « nourrir » 10.
Les résultats : bah, c’est cramé quoi !
Ok, ok !
Maintenant, savons nous faire la même chose avec nos réussites ?
Savez vous ce que vous réussissez à tous les coups ou presque ? Savez vous expliquer en détail tout ce qu’il se passe quand vous réussissez et tout ce que vous mettez en œuvre pour y arriver ? Ce n’est pas une question de chance…
Les mécanismes qui vous permettent de réussir sont puissants !
Quand vous en avez conscience, que vous savez les utiliser volontairement, là, tout change.
Et la petite cerise sur le gâteau, c’est que, grâce à eux, les problèmes ne sont plus des problèmes ! Ils deviennent des petites épreuves naturelles qui ne vous bloquent plus. Vous retrouvez votre confiance, votre liberté et vous avez les clés pour enfin agir !
Si cette vision vous parle et que vous voulez retrouver votre liberté d’agir, contactez moi, tout simplement !
Pour votre bien-être,
Léa